Avant, le Boléro de Ravel, m'insupportait; je n'aimais pas cette rengaine qui revenait comme une prise de tête.
Puis, j'ai vu le film "Les uns et les autres" de Lelouch, dans lequel on voyait la chorégraphie de Maurice Béjart, et là ça a été le coup de foudre.
Ce boléro est une répétition de 18 fois le même air qui va crescendo, ça commence doucement avec la flûte, puis la clarinette, le soprano.... et ça finit sur un feu d'artifice de cuivres.
Maurice Ravel en évoquant son œuvre parlait de musique sexuelle, et je crois que Béjart a bien senti ça aussi.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire